11 avril 2011
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Esprit libre dans une société fermé. Il est tellement facile de dire du mal sur les autres qu'au final on se rend compte que l'on est seul dans cette succession de déclarations fausses, qui a pour seul but de détruire moralement, puis physiquement une personne que l'on a, jadis ou pas, aimé ou détesté. Et c'est à ce moment précis d'une vie on n'a plus envie de se justifier, on est fatigué de le faire, chercher le pourquoi du comment et ainsi de suite. La société néglige bien trop ce genre de comportement, désormais il est aisé de faire du mal et comme il est écrit précédemment, les faibles succombent, on en reviens à ce même fait. L'homme ne connaît pas l'imprévu, mais lorsqu'il arrive, c'est trop tard, c'est fini. On a mal avant de s'en rendre compte.
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27 mars 2011
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Petite touche de joie dans une vie ou l'on essaie toujours de se tirer une balle dans le pied. Il est évident que le monde est remplie de tristesse, de détresse,de guerre et puis tout le reste qui fait que le monde ne va pas bien du tout. Mais je pense que le plus important dans la vie, que l'on soit président de la République ou secrétaire à mi temps, c'est d'avoir la force nécessaire a un moment donné de lever son fessier et de se dire "aujourd'hui je serais heureux" et les gens les plus heureux ne sont pas forcément ceux qui le proclament haut et fort mais ceux qui vivent ce bonheur que l'on peut qualifier de "intense et révolutionnaire". Alors le fin mot de ma petite pensée est qu'il faut vivre avant d'avoir été consommé par la vie. Tel est ma conception du bonheur dans la société actuel.
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20 mars 2011
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Tout ce dont il avait rêvé était arrivé mais lorsque vint l'amour dans son coeur, Ce fût comme une femme qui quitte son marie, elle prenait ses valises et peut de temps après on la revoyait plus. Elle étais assise au bord du feu où ils campaient le soir venu. Assise près du feu il la regarde, elle est jolie ; elle arrange ses cheveux bruns et parfois comme de l'or à la lueur du feu. Ses yeux sont grands et bruns, parfois chauds comme une bougie derrière un rideau, parfois très dur et brillants comme un morceau de glace brisée sur lequel le soleil luit. Mais voilà qu'il lui arriva quelque chose d'étrange, il cessa de voir ce qui l'entourait, puis son visage disparut devant lui, seuls ses yeux brillaient et semblaient être tout près des siens; ensuite il eut l'impression que ses yeux étaient en lui. Tout se troubla, il ne vit plus rien et il du fermer les yeux pour s'arracher au sentiment de délice et d'effroi que produisait en lui ce regard. A ce moment précis de sa vie alors que la solitude l'avait envahi dans la société, il se résout tant bien que mal a vivre. Et il avait raison de dire que vivre pour les autres était le seul bonheur assuré dans la vie.
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15 mars 2011
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C'était ainsi, il se voyait condamné tout les jours à la même monotonie de la vie dans ce lieux dit sécuritaire et paisible. Et pourtant, il assistait démunie de toute ses forces mental, a l'interminable succession de personnes qui connaissait plus ou moins, et il ne put s'empêcher, le soir venu, de retenir ses larmes. Il venait de se rendre compte que se qu'il avait fondé durant sa période de liberté était réduit a néant, les gens passaient devant lui comme un piéton qui croise un sans abri. Alors il se résout a vivre cette vie, pensant naïvement que quelqu'un aura un peu de temps a perdre avec lui. Mais cela ne se produit pas. C'était ainsi, il doit admettre que finalement, qu'aux yeux des autres, il ne représente rien alors que toute sa vie il avait fait en sorte d'exister.
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5 mars 2011
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C'est facile de voir ce qui saute aux yeux, de faire ce qui est prévu. La tendance de la vie individuelle est plutôt statique que dynamique, cette tendance devient réel grâce à la civilisation où on ne voit que ce qui est évident, où l'imprévu arrive rarement. Lorsque l'inattendu arrive et qu'il amène de graves conséquences, les faibles succombent. Ils ne discernent pas ce qui n'est pas facile à voir, ils ne peuvent pas agir contre l'inattendu, incapables s'ajuster leurs vies bien réglées dans des ornières nouvelles et étranges. Bref, lorsqu'ils arrivent au bout de leur ornière, ils meurent.
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23 janvier 2011
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Assis sur ton fauteuil, venant de vivre ton plus grand malheur, tu fixes l'extérieur comme un ennemi à abattre le plus vite possible . Soudainement par élan de joie d'une origine inconnu, tu te lèves, décidant de sourire au monde, tu te décides a te dire que la joie n'est pas un but mais un devoir, ton bonheur soudain est devenu le silence de ta souffrance et d'un geste fougueux tu prends ton paquet de cigarettes, tu mets ta veste avec une tel élégance que tu jubiles intérieurement alors que c'est sûrement l'acte le plus anodin que l'on puisse faire dans sa vie. Et là le temps s'arrête, il te semble le devoir de manifester ton bonheur car être ouvertement heureux donnera aux autres la preuves que le bonheur est possible.
"L'homme est malheureux parce qu'il ne sait pas qu'il est heureux" Fiodor Dostoïevski
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5 janvier 2011
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La liberté et la beauté a l'état pur sont trop précieuses pour qu'on s'y attarde pas. il suivit un chemin tracé par les pèlerins, il le quita pour entrer dans les champs. Là, il s'arrêta et, fermant els yeux, respira profondément l'air au parfum de fleurs que lui apportait cette grande étandue autour de lui. Cela lui était plus chèr que sa famille, plus délicieux qu'une maîtresse, plus instructif qu'un livre. Pendant un moment, il redecouvrit le but de sa vie. Il était sur terre pour saisir la signification de son enchantement sauvage et appeller chaque chose par son vrai nom. Et ainsi, il apparut que seule une vie semblable à la vie de ceux qui nous entourent, unie à lui sans un accroc, est la vie véritable.
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15 novembre 2010
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Je desirais le mouvement et non une existence au cours paisible. Je voulais l'éxcitation et le danger, et le risque de me sacrifier pour mon prochain. Je sentais en moi une énergie surabondante qui ne trouvait aucun exutoire dans ma vie tranquille.
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11 septembre 2010
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Ta vie est comme une longue marche que tu décides d'entreprendre contre l'avis de tous et pour la première fois de ta vie tu te sens heureux. Tu décides de jeter ce qui pour toi t'a toujours retenue, te faisait du mal et pourtant tu restais accrocher comme un pauvre petit naïf. Il y a des personnes qui se sentent indigne d'être aimées, qui se font toute petite et qui ne laisse aucun brèche vers le passé car le bonheur n'est réel que lorsqu'il est partagé.
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26 août 2010
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Tout ceci est tellement loin de toi, tu avances seul dans la rue, le coeur gros et là tu crois qu'il va te lâcher. Cela se propage dans tout ton corps et tu ne peux plus t'empêcher de céder, tu deviens une loque assis sur un banc a contempler ce qui te semble de jolie. Il ne te reste qu'une cigarette au compteur et cela te déprime encore plus. Tu repenses a ce bonheur qui t'a submergé pendant un moment et là tu te dis que le bonheur avait un prénom que tu dois désormais oublié comme tu l'as fait jusqu'à maintenant. Tu dois alors comprendre lorsque tu es tout rouge, que tu as besoin d'un mouchoir et que tu frisonnes de partout, que tu dois lâcher prise a ton plus grand regret. Il faut oublier avant que tu t'oublies toi même.
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